L’un des plus beaux romans que j’aie jamais lus.
Écrit avec une telle liberté de forme que bien d’autres écrivains ont l’air pris dans une camisole de force par comparaison. Un seul fil narratif, mais qui passe par une série de récits, de conversations entre morts et vivants, de poèmes, de dialogues intérieurs, de citations bibliques, d’imbroglios désopilants, de rencontres diverses, de magouilles. On sent les cœurs battre dans ce livre, comme dans un poème de Keats.
Et quelle finale, avec un brusque changement de ton, sur quelques lignes, qui donne un élan soudain au personnage un peu perdu. Sorte de chef-d’œuvre discret.
Traduit de l’hébreu par Sylvie Cohen.
Cela donne envie de le lire
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Merci jmlefebvre !
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